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	Prescription du préservatif masculin : étude qualitative sur l’opinion des médecins généralistes et sages-femmes dans l’agglomération grenobloise
						2020					
					Santé
					
						Auteurs Physiques					
					- LEGROS (S.)
 - MEYER (A.)
 
						Organismes Producteurs					
					- Université de Grenoble
 
						Résumé					
					
						Les Infections sexuellement transmissibles (IST) sont toujours un problème de santé publique en France avec 6 000 nouvelles infections par le Virus de l’immunodéficience humaine (VIH) par an et une recrudescence des infections bactériennes. Malgré l’efficacité reconnue du préservatif masculin contre les IST, on assiste depuis plusieurs années à une diminution de son utilisation. Cette étude visait à recueillir l’opinion des médecins généralistes et des sages-femmes sur la nouvelle possibilité de prescription du préservatif masculin et son remboursement.
Méthode
Étude qualitative menée auprès de médecins généralistes et sages-femmes de l’agglomération grenobloise par des entretiens individuels semi-dirigés.
Résultats
9 médecins généralistes et 5 sages-femmes ont été interrogés. Les acteurs de soins primaires ont été peu informés de cette mesure et leur expérience était encore faible. Cette prescription a été identifiée comme un moyen de véhiculer un message d’information, de prévention et d’améliorer l’accessibilité du préservatif en réduisant son coût. La possibilité de prescription à titre contraceptif a également été soulignée. Elle apparaît aussi comme un élément d’ouverture du dialogue autour de la santé sexuelle parfois difficile à aborder. Toutefois, cette mesure doit s’associer dans la lutte contre les IST au renforcement des programmes d’éducation, d’information et à la mise à disposition gratuite de préservatifs.
Conclusion
La prescription du préservatif encore à ses débuts est, malgré des freins identifiés, accueillie de façon positive par les professionnels grâce à ses atouts dans la lutte contre les IST et s’associe aussi à une action contraceptive.
				Méthode
Étude qualitative menée auprès de médecins généralistes et sages-femmes de l’agglomération grenobloise par des entretiens individuels semi-dirigés.
Résultats
9 médecins généralistes et 5 sages-femmes ont été interrogés. Les acteurs de soins primaires ont été peu informés de cette mesure et leur expérience était encore faible. Cette prescription a été identifiée comme un moyen de véhiculer un message d’information, de prévention et d’améliorer l’accessibilité du préservatif en réduisant son coût. La possibilité de prescription à titre contraceptif a également été soulignée. Elle apparaît aussi comme un élément d’ouverture du dialogue autour de la santé sexuelle parfois difficile à aborder. Toutefois, cette mesure doit s’associer dans la lutte contre les IST au renforcement des programmes d’éducation, d’information et à la mise à disposition gratuite de préservatifs.
Conclusion
La prescription du préservatif encore à ses débuts est, malgré des freins identifiés, accueillie de façon positive par les professionnels grâce à ses atouts dans la lutte contre les IST et s’associe aussi à une action contraceptive.
							Accès à l'étude						
					Thèse de médecine (127 p.)