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Panorama de la natalité en Auvergne-Rhône-Alpes : une diversité de situations individuelles et territoriales.
2025
Santé
Auteurs Physiques
- DEBOUZY (I.)
- DOMPTAIL (V.)
Organismes Producteurs
- Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE)
Résumé
En 2024, 78 300 enfants sont nés d’une mère domiciliée en Auvergne‑Rhône‑Alpes. Avec un nombre élevé de femmes en âge de procréer, Auvergne‑Rhône‑Alpes est la deuxième région de France métropolitaine pour le nombre de naissances. Entre 1975 et 2024, ce nombre a moins diminué en Auvergne‑Rhône‑Alpes qu’en France métropolitaine. Depuis 2010, il a toutefois baissé de 19,1 % dans la région (-21,6 % en France métropolitaine), du fait notamment d’une fécondité plus faible des femmes les plus jeunes.
Depuis 2010, le recul des naissances touche tous les départements d’Auvergne‑Rhône‑Alpes, mais à des degrés divers, avec des baisses allant de -6,5 % en Haute‑Savoie à -29,3 % dans le Cantal. Les départements de la région peuvent ainsi être scindés en quatre groupes.
Dans l’Ain, le Rhône et la Haute‑Savoie, la baisse récente du nombre de naissances est plus faible que celle de la région, en raison d’un nombre de femmes en âge de procréer qui augmente davantage.
En Isère, dans la Loire, le Puy‑de‑Dôme et la Savoie, la chute récente du nombre de naissances est un peu plus forte que celle de la région en raison d’un nombre de femmes en âge de procréer en baisse alors qu’il augmente légèrement en Auvergne‑Rhône‑Alpes.
Dans l’Allier, l’Ardèche, le Cantal et la Haute‑Loire, la chute récente du nombre de naissances est bien plus forte que celle de la région en raison d’une baisse assez importante du nombre de femmes en âge de procréer.
Enfin, dans la Drôme, la baisse récente du nombre de naissances, ainsi que la plupart des autres indicateurs, sont très proches de ceux de la région. En conséquence, elle ne peut être inscrite dans aucun des trois groupes précédents.
Depuis 2010, le recul des naissances touche tous les départements d’Auvergne‑Rhône‑Alpes, mais à des degrés divers, avec des baisses allant de -6,5 % en Haute‑Savoie à -29,3 % dans le Cantal. Les départements de la région peuvent ainsi être scindés en quatre groupes.
Dans l’Ain, le Rhône et la Haute‑Savoie, la baisse récente du nombre de naissances est plus faible que celle de la région, en raison d’un nombre de femmes en âge de procréer qui augmente davantage.
En Isère, dans la Loire, le Puy‑de‑Dôme et la Savoie, la chute récente du nombre de naissances est un peu plus forte que celle de la région en raison d’un nombre de femmes en âge de procréer en baisse alors qu’il augmente légèrement en Auvergne‑Rhône‑Alpes.
Dans l’Allier, l’Ardèche, le Cantal et la Haute‑Loire, la chute récente du nombre de naissances est bien plus forte que celle de la région en raison d’une baisse assez importante du nombre de femmes en âge de procréer.
Enfin, dans la Drôme, la baisse récente du nombre de naissances, ainsi que la plupart des autres indicateurs, sont très proches de ceux de la région. En conséquence, elle ne peut être inscrite dans aucun des trois groupes précédents.
Accès à l'étude
Insee Dossier Auvergne-Rhône-Alpes n° 18 – Juin 2025 (60p.)