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	Femmes traitées pour un cancer du sein : retentissement sur la qualité de vie des effets indésirables de la chimiothérapie.
						2019					
					Santé
					
						Auteurs Physiques					
					- MANISSOLE (Chloé)
 
						Organismes Producteurs					
					
						Aucun organisme producteur					
				
						Organismes Commanditaires					
					- Université de St Etienne
 
						Résumé					
					
						Le cancer du sein, le plus fréquent chez la femme en France, est le plus souvent traité par chimiothérapie. Ce traitement présente des effets indésirables pouvant retentir sur la qualité de vie des femmes. L'objectif vise à quantifier et analyser le retentissement sur la qualité de vie des effets indésirables de la chimiothérapie chez des patientes traitées pour un cancer du sein. Une étude descriptive transversale, quantitative, par auto-questionnaire a été réalisée de juin à décembre 2018 auprès de patientes traitées par chimiothérapie et suivies en région Auvergne-Rhône-Alpes. La qualité de vie a été mesurée au moyen des échelles le EORTC QLQC30 et MIF20. 82 questionnaires ont été analysés. En moyenne un an après la fin de la chimiothérapie, la qualité de vie globale des participantes est satisfaisante et s’élève à 66/100. Le score de fatigue est assez élevé à 70.85/100 (MIF20). La fatigue, les nausées et la douleur sont corrélées à une diminution de la qualité de vie. L’utilisation d’Anthracyclines influence négativement certaines dimensions du score de qualité de vie alors que l’âge des participantes et le temps écoulé depuis la fin du traitement semblent ne pas avoir d’influence. Cette étude met en évidence la persistance de la fatigue et l’impact des anthracyclines sur la qualité de vie des patientes traitées par chimiothérapie. Le retentissement immédiat et prolongé de ces traitements devrait conduire à l’utilisation de thérapeutique ayant moins d’effets indésirables. L’impact sur la féminité et la sexualité, non spécifiquement évalué par ces échelles, devrait être étudié. 					
				
							Accès à l'étude						
					Thèse de médecine (42 p.) – Lieu de consultation : BU St-Etienne